Le principe de base consiste à légèrement tapoter la toile avec un petit pinceau plat pour créer le feuillage, avec de la terre de sienne brûlée, de la terre d’ombre brûlée pour les parties sombres, du vert de Hooker, du vert clair pour les feuilles avec chlorophylle, de l’ocre jaune, du jaune de cadmium foncé ou clair pour les feuilles jaunies. Toutes ces couleurs peuvent se mélanger ou être déposées cote à cote et permettre à l’œil de l’observateur de les synthétiser par l’intermédiaire du cerveau , à la manière des peintures impressionnistes.
Bien localiser le sens de la lumière qui va éclairer l’arbre et lui donner du volume, par l’opposition des zones d’ombre et de lumière.
- Ce matin, je suis allé visiter, à Aix en Provence, l’exposition consacrée au peintre impressionniste Alfred Sisley. Ses tableaux et toiles qui privilégient l’art de peindre la nature mettent en évidence pour la plupart une extraordinaire maitrise dans la réalisation des ciels, de l’eau et ses reflets (la Seine près de Paris) et de la végétation ( arbres et forêts).
Alfred Sisley, par laurentsaintgermain