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Il y a d'autres manières de préserver ou de créer les blancs à l'aquarelle. C’est souvent une des grosses difficultés dans l’exercice de cette technique. On imagine bien, en peignant un petit bouquet de muguet, combien il est difficile de conserver le blanc du papier pour rendre au mieux ces petites fleurs blanches. Surtout si l’on travaille le fond et les feuilles avec de grand jus colorés. Idem, si l’on peint un beau ciel et que l’on souhaite préserver la voile blanche d’un bateau sur l’océan, l’éclat de lumière sur une cerise, un verre, ou la pureté de ses dents pour rendre au mieux son sourire « ultrabrite ».
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Cette solution a quand même le défaut à mon gout de délimiter avec trop de netteté les blancs.
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La peinture doit être humide.
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Ces blancs seront moins lumineux et intenses.
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Un peu délicate à maitriser.
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La peinture doit être très sèche.
La peinture doit être sèche.
Utile pour les grandes surfaces.
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Le cellophane fripé peut être déposé sans couleur, sur une surface mouillée, déjà peinte, puis retiré après séchage.
Attention danger !!!, à utiliser avec beaucoup de précaution et parcimonie.
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Difficile à nettoyer.
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A manipuler avec précaution
Dans l’exercice d’une peinture on pourra utiliser toutes ces méthodes, on pourra y ajouter: feutres, pastels, tampons encreurs, papiers gaufrés, etc... L’intérêt étant bien évidement d’obtenir un beau tableau. Et pour ce faire, toutes les techniques sont utiles.
Le blanc à l'aquarelle, par laurentsaintgermain