Le Processus
00:00 • Introduction 00:58 • Revue de matériel 01:55 • Esquisse 04:05 • Le ciel 09:23 • Montagnes 14:42 • Arbres sombres 18:09 • Les maisons 32:20 • Cyprès et coté gauche.
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Le Processus
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Cela ne demande que peu d’effort à un oiseau pour se tenir en équilibre ou pour se poser sur une branche, sur une ou deux pattes. Il s’agit là d’une question purement mécanique : la patte d’un oiseau est naturellement serrée. Le poids de son corps l'aide à verrouiller naturellement ses doigts autour de la branche. Quand ils veulent reprendre leur envol, ils doivent faire un effort pour ouvrir leur griffe et lâcher la branche.
Les doigts des oiseaux sont reliés par un tendon à un muscle situé sur leur « genou ». Placer ce « genou » entre guillemets s’explique parce qu’il ne s’agit pas vraiment d’un genou… Les articulations au milieu de la patte d’un oiseau pointent vers l’arrière. Le vrai genou de l’oiseau est beaucoup plus haut, caché sous un épais paquet de plumes. Lorsqu’un oiseau se détend et fait pression sur ses genoux et ses chevilles, le tendon se resserre automatiquement et les griffes se ferment. Ce mécanisme est si puissant que certains oiseaux peuvent même s’accrocher à l’envers sur une branche sans difficulté. S’ils meurent dans leur sommeil, il est difficile de leur faire lâcher prise — précisément parce que leurs doigts adoptent naturellement une position repliée.
Dessiner ou peindre les pattes d'oiseaux, par laurentsaintgermain