Des milliers de vidéos pour vous aider à comprendre le dessin et la peinture (aquarelle, huile, acrylique), mais aussi l'écologie des cours d'eau, la lecture en écoutant de la musique relaxante
La palette
Placez les couleurs suivantes sur la palette:
Mélanger un peu d’orange de cadmium au violet, pour obtenir une couleur brunâtre. Ajouter un peu de médium à séchage rapide, à ce mélange de peinture, pour qu'il sèche plus rapidement sur la toile.
Esquisser le champignon, les feuilles, les aiguilles de pin, sur le support, comme on le voit sur la photo de référence.
Peindre le fond
Tout d'abord peindre une sous-couche de couleur brune, autour des éléments qui constituent le sol du sous-bois ('aiguilles de pins, feuilles, brindilles ) pour donner de la profondeur de champ et de la texture.
Ensuite, déposer des couleurs supplémentaires sur la palette:
Ajouter un petit peu de blanc dans le mélange brun, Représenter succinctement les éléments du sol qui participent à la composition de l'arrière-plan. (une couleur verte, par exemple, pour les feuilles). Laissez quelques taches où les feuilles et les brindilles seront peintes plus tard. Tamponner avec un peu d'ocre jaune pour égayer l'ensemble.
Peindre le chapeau du champignon
Commencez par peindre le centre du chapeau du champignon avec le rouge de cadmium, en prenant soin de laisser des taches blanches apparentes.
Le coté droit exposé à la lumière sera peint avec de l'orange de cadmium. Sur le côté gauche, plus sombre, ajouter un peu de mélange vert ou de brun.
Chevaucher la couleur brune de l'arrière-plan, de sorte que le champignon se détache mieux sur ce fond.
Mélanger du blanc avec un peu de bleu pour obtenir une teinte légèrement bleutée, qui sera la couche de la base du champignon, puis partager en 2 la réalisation de cette partie:
Pour créer une texture, les teintes déposées sur le pied du champignon ne le seront pas de manière uniforme Ajouter quelques points saillants et des aspérités pour donner du volume et créer des ombres au bas du pied.
Ajout des verrues sur le chapeau du champignon
Mélanger du blanc avec un peu d'ocre jaune, recouvrir les écailles de la zone éclairée par le soleil.
Peindre les verrues
A noter que les écailles ne sont pas blanches, Elles apparaissent en relief comme des verrues sur une peau et par conséquent il faut les représenter détachées de la surface du chapeau, elles sont élevées au-dessus de la surface du champignon.
Commencez par mélange le blanc à l'ocre jaune et peindre les écailles du centre. Ensuite, prendre un pinceau plus petit et ajouter de l'ombre sous celles-ci pour créer le volume.
Ne jamais perdre de vue que la lumière vient de la droite et que c'est elle qui va donner un sens à la composition
Avec la peinture blanche pure, peindre les plus petites écailles situées dans la lumière, le long de la marge du chapeau.
Ajouter les taches sombres, en cas de besoin, dans le centre de la verrue.
Finitions de l'arrière-plan
Une tonalité gris clair va permettre de peindre avec un pinceau pointu et fin: brindilles et aiguilles de pin,
Mélanger et faire varier quelques tonalités d'orangé-brun pour donner du volume aux feuilles mortes, exposées aux rayons lumineux.
Le panel de couleurs doit être large et permettre de créer le relief du premier plan, en jouant sur la variété et le contraste des teintes utilisées ,brunes, vertes, violettes, etc. . Protéger, si nécessaire, avec un morceau de bande adhésive le pied du champignon pour peindre la base du champignons et la végétation qui la recouvre. Enfin, l'ombre portée du champignon sur l'humus du sol sera d'un violet profond.
Ôter le ruban adhésif.
Peindre des champignons, par laurentsaintgermain
Peindre aux pastels, par laurentsaintgermain
La différence entre les hiboux et les chouettes
Le hibou n’est pas le mâle de la chouette ! Ce sont deux espèces de rapaces différentes. Malgré quelques différences, ils sont tous les deux nocturnes, c'est-à-dire qu’ils ne vivent que la nuit et c’est donc à ce moment-là qu’ils chassent leur nourriture. La différence majeure entre la chouette et le hibou est que le hibou a de petites touffes de plumes de chaque côté de la tête (les aigrettes).
Peindre ou dessiner des plumes, par laurentsaintgermain
Le hibou a également tendance à être totalement nocturne alors que la chouette se balade aussi le jour. Par contre, elle chasse exclusivement la nuit.Étant donné que ce sont des rapaces, ils possèdent un bec pointu ainsi que des serres puissantes leur permettant d’attraper de petits rongeurs.
Peindre ou dessiner hibous, chouettes, par laurentsaintgermain
Blanc titane
Blanc de (zinc)
Terre d'ombre brûlée
Sienne brûlée
Rouge cramoisi
Rouge cadmium
Ocre jaune
Vert foncé
Bleu outremer
Noir Ivoire
Le caravagisme n'est pas réellement un mouvement pictural à part entière mais plutôt une inspiration du style du peintre Michelangelo Merisi dit le Caravage que l'on retrouve chez divers artistes appartenant à des courants différents, notamment baroque et classique.
Les caractéristiques principales que l'on retrouve dans l'influence caravagiste sont l'utilisation du clair-obscur et l'organisation spatiale qui réduit à rien la distance séparant le spectateur de la scène du tableau. Le premier plan semble venir toucher la surface du tableau, limite du monde de l'image et de celui du spectateur.
Peinture à l'huile, à la main et au couteau
Pastel
Acrylique
On va donc se servir de notre référence de base pour placer les lumières et de notre référence couleur pour utiliser les bonnes couleurs.
Le pas à pas va permettre d'observer le modèle pour comprendre les volumes et les formes.
On commence comme toujours avec notre couleur de base, ici, un gris un peu jauni sur l’ensemble du corps, à l’exception du poitrail qui tire plus vers un gris coloré bleuté.
On pose aussi la même couleur sombre des pattes, du bout du naseau et de la crinière. Il ne s’agit pas d’un noir pur mais d’un gris coloré bleuté, pour les pattes avant et gris coloré jaune, pour les pattes arrière.
On ajoutera l’effet tacheté plus tard.
Notre lumière vient de la gauche et semble relativement basse. Pour le corps, on va prendre un blanc légèrement jaune.
On en profite aussi pour varier les teintes à certains endroits avec des rosés ou des bleutés. Toujours en restant cohérent.
Pour le poitrail et la tête, une teinte plutôt rosée.
Pour le bas des pattes un gris plus clair, comme toujours, jauni pour les pattes arrière et bleuté, pour les pattes avant. Même principe pour la crinière.
Une fois ces couleurs de bases posées, on va s'attacher à rendre la lumière sur les parties éclairées. Les couleurs sont très similaires à celles utilisées pour les pattes, je vous laisse donc les réutiliser. Par contre, le traitement de la crinière est différent. Sur notre modèle, la crinière est cachée par le cou, donc elle sera assez simple à traiter, mais la queue, en revanche, va être un bon exercice de style.
Posons donc nos lumières. La source lumineuse n’a pas changé, n’oubliez jamais d’où provient votre lumière. Pour les cheveux, les crins, la fourrure en général, il faut TOUJOURS suivre le sens d’implantation des poils. C’est-à-dire que vos coups de pinceau doivent toujours suivre le sens des poils. On part de la racine et on suit la crinière et la queue.
Cette règle s’applique aussi bien pour les ombres que pour les lumières. C’est ultra important. Ce qui fait qu’on va se retrouver avec des « mèches » ondulées mises en valeur par les effets de la lumière qui va créer des volumes. Pour commencer, ne pas utiliser un pinceau tout fin pour faire chaque poil indépendamment les uns des autres. Là encore c’est une erreur assez classique, il faut procéder par masses. On commence par les gros volumes et on affine petit à petit jusqu’au détail ( se référer aux nombreuses vidéos, ci-dessous).
Peindre poils et fourrure, par laurentsaintgermain
Vous devriez avoir une crinière et une queue qui ressemble à cela.
APPLIQUER LES OMBRAGES AU CHEVAL
Même principe pour les ombres. Le premier niveau de gris sera un gris, toujours jauni ou bleuté / violacé en fonction des zones. Et d’un gris plus soutenu pour les pattes. C’est le moment de faire ressortir la musculature et l’ossature de notre cheval. En général, ce sont des animaux puissants et ça se voit.
Comme toujours, prenez le temps de bien travailler les ombres et les volumes. Attention toutefois à ne pas perdre ou oublier la structure en-dessous. Si vous êtes particulièrement studieux et curieux, vous pouvez carrément aller chercher des références anatomiques de chevaux, pour voir à quoi ressemble leur musculature et donc éviter de modeler une forme que vous ne comprenez pas.
Même principe pour la première teinte d’ombre sur la crinière. Non, il ne s’agit pas de noir.
Sur la crinière comme vous le voyez, on reste assez simple
Ne restent plus que de petits détails comme les sabots et la tête.
Pour les sabots, on va prendre une teinte de base proche de celle des pattes, mais tirant plus sur l'ocre brun.
On ajoute les ombres des sabots.
Ajouter les petites tâches dans le pelage. soit en diluant la couleur de base avec de l'eau (aquarelle, acrylique) ou avec du "white spirit" pour la peinture à l'huile.
Récapitulons les phases principales de notre sujet.
Peindre Les chevaux en vidéo, par laurentsaintgermain
Pour positionner le sol, il suffit de reporter un second rectangle identique à celui du corps, sous ce dernier. La base correspond au sol.
Le cheval vu légèrement de profil verra son corps rectangulaire, transformé en parallélépipède rectangle.
On partage la face du parallélépipède en trois parties à peu près égales. L’une correspondra au poitrail et l’épaule, celle du milieu à l’abdomen et la dernière à l’arrière train. En réalité dans le cas du cheval, l’abdomen est légèrement plus large. On va donc augmenter légèrement la partie centrale.
On va tracer un genre de losange ou de verre ballon pour le cognac. les images sont plus parlantes.
On partage cette partie en deux.
Puis on trace le début de l’abdomen.
Pour les pattes antérieures, on commence avec un genre de cône tubulaire légèrement évasé.
Un petit cercle pour le genou, puis un rectangle.
Un autre cercle, sur lequel l'on trace une petite droite pour l’avant du sabot.
Un cône pour les sabots
On arrondit légèrement le dessus de l’épaule. On dessine la courbure du dos à l'emplacement de la selle et l'arrondi au niveau de la croupe.
L’abdomen est assez simple, c’est un gros ovale. Attention, il ne remonte pas jusqu’au dos, car il y a la colonne vertébrale juste au-dessus.
Tracer une forme relativement ronde pour la croupe, pour dessiner l'arrière-train.
Comme pour les pattes avant, on trace un cône pour le début de la patte arrière jusqu’au niveau du genou. La seule différence est qu'il n'y a pas de cercle pour l’articulation, on va simplement tracer un second trait, pour élargir l’extrémité du cône.
Puis l'on dessine l’autre patte arrière.
On ajoute un cylindre se terminant cette fois par une cercle et on applique le même processus pour les sabots.
La queue est placée au premier tiers de la croupe, quant à sa la longueur elle dépend de la race du cheval.
Ah, dès qu’on met un peu les muscles, ça devient beaucoup plus classe ! Et nous avons notre dessin de cheval achevé !
Les proportions de la tête et du corps du cheval, par laurentsaintgermain
C'est un sujet que beaucoup d’entre vous adorent, il s'agit des chevaux. 2 parties de l'animal sont à différencier: la tête et le corps.
L’OBSERVATION DU CHEVAL
Les proportions sont les suivantes : 1/3 du corps pour le poitrail et les épaules, 1/3 pour l’abdomen et 1/3 pour l’arrière-train. On peut imaginer la présence d'un deuxième ventre virtuel sous celui de notre cheval.
Le cou a une forme assez triangulaire.
La ligne du dos est courbée (pratique pour les selles des cavaliers).
Une longue queue volant au vent !
La tête
On part sur 3 formes géométriques:
- Un trapèze triangulaire, pour l'essentiel de la tête.
- Un cercle pour la joue.
- Un cercle pour le museau.
L’œil se place au premier quart de la tête au dessus du cercle de la joue.
Un tuto intéressant:
Les proportions de la tête et du corps du cheval, par laurentsaintgermain
On utilise surtout des formes géométriques et des rapports de proportion, les plus simples possibles, pour la compréhension et l'assimilation. la photo sera un support très intéressant
On va commencer par la tête que l'on va décomposer en plusieurs étapes. On commence par un trapèze. Sa base, au niveau des oreilles, doit être à peu près deux fois plus large que l'autre extrémité vers le museau et deux fois et demi plus long.
On dessine le cercle du museau et celui de la joue.
On trace ensuite le triangle du cou, aussi long que la tête qui s’insère dans sa partie supérieure, un peu plus large à sa base et un peu plus étroit à la base du crâne.
Notre modèle est de profil, cela nous simplifie grandement les choses. Les yeux sont placés au premier quart de la tête à peu près et à un tiers dans le sens de la hauteur. Comme pour tous les herbivores, les yeux des chevaux sont placés sur les côtés de la tête, afin de pouvoir surveiller et s'enfuir en cas de prédation.
De face, on voit clairement que les yeux sont situés sur les côtés.
On peut donc, décomposer la forme de la tête comme ceci :
Un grand rectangle pour le museau, un trapèze pour le front et le haut des yeux, un triangle pour les « pommettes » et un rectangle pour les joues. Sans oublier les deux losanges pour les oreilles.
Observez bien, les oreilles sont en forme de losange, leur longueur doit être la même que la distance entre l’œil et la base de l’oreille, attention donc à correctement les placer.
Rajouter les joues, plus carrées que notre cercle original, faites très attention à son placement et son inclinaison. Affiner aussi la forme du museau, inclinée vers le bas.
Les naseaux ronds font ¼ de la hauteur du museau.
La largeur d'un naseau peut s'insérer entre le naseau et la ligne de la bouche. On en profite pour lui donner une jolie courbure en passant.
Garder en tête ceci : les yeux correspondent aux endroits les plus larges du crâne, le bout du museau s’incline vers le bas en général, les lèvres sont épaisses.
Les yeux ont une jolie forme et sont plus petits que les naseaux.
Les naseaux justement ont une forme très particulière, mais assez simple à faire au final.
On n’oublie pas la crinière.
Les oreilles et la frange de la crinière.
Si l'on veut faire ressortir la musculature. Le sterno-cléido-mastoïdien, le même que pour l'être humain, part de l’oreille et se fixe vers le centre de la base du cou. Le muscle qui débute le dos, part de la nuque et se poursuit jusqu’au garrot (le dessus de l’épaule du cheval).
C'est une grosse baie ronde, de la taille variable pesant entre 250 et 800 g. Son écorce est dure et coriace, de couleur rouge ou jaune beige, qui renferme dans des « loges » délimitées par des cloisons épaisses, de nombreux pépins de couleur rose saumon à rouge rubis, d'une forme caractéristique en gemme de rubis.
Dans chaque pépin, la graine est enrobée d'une pulpe juteuse de chair transparente plus ou moins sucrée et acide selon les variétés. Seuls les pépins constituent la partie comestible de la grenade soit environ la moitié du fruit.
Avec la maturité, la peau de la grenade s'assombrit, s'amincit et durcit à l'extrême. Son écorce constituant alors une protection efficace pour la pulpe enfermée à l'intérieur de très nombreuses cloisons ténues. Au stade ultime de maturité, la grenade s'ouvre, elle éclate précocement en cas de forte pluie. Le meilleur moment pour la cueillir est quand le fruit se détache sans difficulté.
Elle fut introduite en Andalousie dans le courant du 8è siècle par les Arabes venus du Maroc. La ville de Grenade, lui doit son nom - Granada en espagnol. Le prophète Mahomet, pensait que la grenade chassait l’envie et la haine.
La grenade était appréciée des nomades car, protégée du dessèchement par sa peau épaisse et coriace, les caravanes pouvaient la transporter sur de longues distances, et son jus désaltérant et nourricier était très apprécié.
Beaucoup de peuples ont vu la grenade comme un symbole d'amour, de fertilité et de prospérité.
À l'achat, préférez les grenades dont l'écorce est foncée, d'un rouge profond à brun. Les petites grenades sont ordinairement sèches et immangeables. Plus le fruit est lourd, plus la pulpe sera juteuse. L'épiderme doit être lisse et brillant, exempt de brunissures. On dit que le fruit est mûr lorsqu'en tapant dessus, il émet un son métallique.
Originellement, le sirop de grenadine était tiré des grenades. Aujourd'hui, la grenade n'entre plus dans sa composition.
En peinture : préférez les jus légers de rose permanent pour débuter la couleur claire des grains de la grenade puis foncez en ajoutant de l’alizarine cramoisie et terminez par du carmin vrai.
Les chairs seront obtenues à partir de jaune de Naples cassé de rose permanent plus ou moins dosé.
Les couleurs dominantes sont: Le jaune de Naples, l'orangé de cadmium, le vermillon, le rouge cramoisi, le rouge carmin, le bleu outremer, le blanc ivoire.
Les coupes sur la grenade
Dans le quartier qui figure devant, j’ai volontairement dégagé quelques grains car les cloisons en dessous sont nacrées et c’est dommage de n’avoir que la coupe nette qui ne peut les montrer. La grosse difficulté avec ces coupes est qu’elles s’oxydent très vite, c’est pourquoi il faut les dessiner et peindre en priorité et ne pas trop se laisser entraîner par cette oxydation sans toutefois la nier totalement car quelques détails structurels deviennent visibles grâce à elle !
Les couleurs sur les coupes commencent toujours avec le jaune de Naples, ensuite pour donner une texture je pose des glacis très légers avec le jaune transparent + le violet Winsor, plus ou moins additionné de terre de Sienne brûlée. C’est aussi ce premier mélange de deux complémentaires (jaune+violet) qui m’a servi pour les ombres portées sur le sol qui devaient rester discrètes mais étaient nécessaires vu le choix de mise en page « en situation » que j’avais choisi.
Les grains de grenade ne sont pas intégralement carmin ; près de leur attache ils sont parfois gris rosés (vermillon français Sennelier cassé de bleu de cobalt) et l’Orange et le Vermillon français de Sennelier m’ont servi aussi sous la laque carminée (Sennelier aussi) qui donc arrive surtout en glacis sur ces grains dont il faut penser à préserver quelques arêtes en papier sec pour avoir une vraie brillance. Pour foncer encore ma laque carminée, par exemple pour détacher les grains sur mes coupes, je l’ai concentrée et j’ai ajouté un peu de sépia.
La fleur a fait l’objet d’un article
http://www.aquarelle-bota-clairefelloni.com/2015/08/fleur-de-grenadier.html
La grenade entière est commencée en inondant toute la surface avec de l’eau légèrement teintée de rose puis du jaune de Cadmium pale est posé en tournant autour du reflet. Je fais fuser ensuite dans l’humide des mélanges comme : Or de quinacridone+Terre de sienne brûlée+Sépia ou encore : Or de quinacridone+Rose permanent. Ensuite les glacis reprennent les mêmes mélanges, plus la laque carminée. Le gris de Davy m’a servi un peu au niveau du calice.