Des milliers de vidéos pour vous aider à comprendre le dessin et la peinture (aquarelle, huile, acrylique), mais aussi l'écologie des cours d'eau, la lecture en écoutant de la musique relaxante
Le mot "perspective" signifie " regarder en avant" en latin. La perspective donne une illusion de profondeur, a une œuvre "plate" en 2 dimensions. Elle avait une fonction symbolique. La perspective sert alors à mettre en évidence un élément de la composition comme dans l’art de l’Égypte antique ou les artistes ignoraient la notion de perspective et les personnages peints sont agrandi selon leur importance dans la société
Il existe plusieurs types de perspectives:
-Perspective à point de fuite unique
La ligne d'horizon (LH) correspond à la hauteur des yeux de l'observateur. Le point de fuite (P) correspond à la position latérale de l'œil de l'observateur, le point de rencontre de toutes les droites. Les lignes de fuite correspondent aux côtés du volume qui fuient en profondeur. Ces côtés subissent une déformation: ils tendent à se rejoindre vers le point de fuite. Dans la perspective mono focale, la façade (le côté face à l'observateur) ne subit aucune déformation: les côtés du rectangle et de la fenêtre restent bien parallèles.
-Perspective à deux points de fuite Il n'y a pas de "façade" (de côté face à l'observateur), du coup, tous les côtés subissent une déformation:ils tendent tous à se rejoindre vers 2 points de fuites.La perspective à un et a deux points de fuites sont aussi appelés perspective linéaire.
-Perspective cavalière
Cette perspective est utilisée en architecture, pour montrer les espaces intérieurs en élévation.Toutes les arrêtes du cubes sont parallèles et ne subissent aucune déformation.
-Perspective atmosphérique
La perspective atmosphérique est une technique inventée par Da Vinci. Il s’agit d’une technique coloristique donnant un effet de volume. Les éléments de l’avant plan sont de couleur chaude alors que ceux de l’arrière plan sont plus bleutés et moins précis. Elle est basée sur l’effet optique causé par la lumière absorbée et réfléchie par l’atmosphère. C’est la lumière bleue qui pénètre le plus facilement dans l’atmosphère faisant apparaitre le ciel bleu et donnant aux objets éloignés une nuance bleutées.
Une aquarelle peut être rendue méconnaissable par l'ajout de traits à la plume à l'encre de chine. Tout dépend si vous êtes un(e) puriste. Ce serait presque un sacrilège de dessiner au trait et de créer des effets de ton par dessus une aquarelle superbement éxécutée, car la peinture se suffit à elle même et permet les techniques les plus variées. Néanmoins, appliquer quelques traits à la plume ou au stylo sur un lavis permet d'accentuer certains éléments, de souligner les détails, et de donner une force et des effets irréalisables par d'autres moyens. Le dessin au trait apporte des résultats précis et rapides et restitue forme et clarté à un ensemble trop imprécis et confus en soulignant les contours et en donnant du corps et du volume à la peinture.
Une multitude de couleurs et quelques morceaux d'éponge sont nécessaires pour réaliser ce ciel d'orage.Pastels ultra tendres en godets
Imaginez un pastel le plus tendre possible… Imaginez un pastel avec lequel vous pourriez « littéralement peindre »
Découvrez PanPastel®, les pastels ultra-tendres en godet pour artistes.
Véritables pastels tendres présentés dans un format unique, les pastels extra-fins en godets PanPastel® offrent de nouvelles perspectives aux artistes d’aujourd’hui. De prime abord, attirés par le format original, les pastellistes sont ensuite séduits, dès la première utilisation de PanPastel®, par son extrême facilité d’emploi. Les artistes apprécient cette faculté qui leur est offerte de prélever aisément la couleur et d’en contrôler précisément l’application sur le support.
Les artistes sont unanimes. Ils apprécient l’aisance d’utilisation et la maîtrise que leur offre PanPastel® :
ª Aucun temps de préparation et aucune attente entre 2 couches ne sont nécessaires • Ni les outils, ni les couleurs ne risquent de sécher et de se détériorer • Le nettoyage est simple et aisé • Les tracés ou aplats effectués sont totalement réversibles : il suffit d’effacer à la gomme !
Elaborés à partir de pigments extra-fins, les pastels PanPastel® suivent un procédé de fabrication nécessitant un minimum de liant. Cette formule unique leur confère une texture à la fois riche et onctueuse, formant un minimum de déchets poudreux.
Leur concentration pigmentaire élevée garantit une excellente résistance à la lumière répondant ainsi aux exigences des artistes professionnels.
Chaque godet de 9ml contient environ 40% de matière de plus qu'un pastel traditionnel (% moyen calculé d'après une étude récente menée sur les pastels tendres extra-fins).
Totalement compatibles, voire complémentaires, aux pastels tendres traditionnels, PanPastel® séduit d’emblée le pastelliste et offre surtout à tous les artistes l’opportunité de pratiquer avec plaisir les techniques sèches. PanPastel® est le premier pastel incassable qui permet d’appliquer des techniques propres à la peinture.
Depuis des siècles, les artistes sont séduits par le pastel tendre pour la spontanéité du geste et la pureté de ses couleurs. Pour certains artistes, le pastel en bâton peut s’avérer frustrant à utiliser : limitatif pour certaines techniques ou difficile à maîtriser pour d’autres…
Suite à de nombreux groupes de réflexion menés avec des artistes professionnels d’origines différentes et pratiquant diverses techniques, le concept PanPastel® a vu le jour. Ses créateurs ont « littéralement » sorti le pastel de son bâtonnet pour obtenir la formule la plus tendre possible. Ils l’ont ensuite tout simplement placé en godets, comme de la peinture…
Les artistes sont unanimes. Ils apprécient l’aisance d’utilisation et la maîtrise que leur offre PanPastel® :
ª Aucun temps de préparation et aucune attente entre 2 couches ne sont nécessaires • Ni les outils, ni les couleurs ne risquent de sécher et de se détériorer • Le nettoyage est simple et aisé • Les tracés ou aplats effectués sont totalement réversibles : il suffit d’effacer à la gomme !
.Cette vidéo vous explique la démarche qui vous permettra de réaliser feuillage et arrière-plan.
La palette:Alizarine crimson.Quinacridone magenta.Quinacridone jauneJaune de cadmium clair.Bleu de cobalt.Bleu outremer.Bleu phtalo.Vert.Terre de sienne.Terre d'ombre.Le renflement des nervures de feuilles, par rapport aux limbes, est accentué en fonçant la couleur verte et en traçant parallèlement à ces nervures principales et secondaires une seconde ligne claire qui va, par contraste, créer visuellement le relief. Les tiges sont protégées avec le "drawing gum", puis seront peintes à la fin de la séance, après retrait de la gomme. Les cinq pétales et le feuillage sont recouverts d'un lavis très dilué de jaune de cadmium. les couleurs qui seront utilisées pour l'arrière-plan sont présentées sur la vidéo et correspondent à la liste de la palette.Mouiller l'arrière de la peinture, attendre 5 minutes, l'ensemble est alors bien imbibé d'eau et l'on va pouvoir appliquer la méthode "humide sur humide" sur le fond. Le contour de l'hibiscus va voir le bleu outremer se répandre sur la feuille blanche. C'est la partie de l'aquarelle où tout est impression, qui contraste avec le réalisme de la fleur: Le vert va restituer le feuillage comme décor; le bleu de cobalt, le ciel resplendissant, le tout saupoudré de temps à autre de gouttelettes d'eau ou de peinture de la palette. L'ensemble joue avec les couleurs complémentaires dans une parfaite harmonie colorée.
Cette vidéo est consacrée à la réalisation de la peinture. Comment maitriser les couleurs pour obtenir les résultats souhaités ou apprendre à contrôler la méthode "humide sur humide" pour aboutir efficacement au travail final.
Les couleurs: Alizarine crimson.Quinacridone magenta.Jaune de cadmium clair.Bleu de cobalt.Bleu outremer.Bleu phtalo.Vert.et de la terre de sienne brûlée ou non.La consigne est de ne pas peindre les pétales qui se touchent, si l'un d'entre eux est encore humide, pour éviter l'effet d'osmose. Sinon, imbiber d'eau propre le papier et procéder comme précédemment en passant un lavis d'alizarine crimson sur le pétale, en insistant sur les parties sombres pour rendre les teintes de rouge plus intenses ou au contraire alléger cette couleur en fonction de la lumière. La couleur quinacridone magenta viendra apporter une touche différente, plus violacée. Mouiller l'axe central du style avec un crimson dilué et peindre ensuite vers le calice avec le rouge magenta, la peinture s'écoule le long de la tige humidifiée, recouvrir de "drawing gum" et laisser sécher pour la protéger lors de l'exécution des pétales restants. La teinte plus violacée de ceux-çi est due à l'utilisation de la couleur magenta, procéder comme pour le début de la fleur en forçant la teinte ou par dilution aqueuse. Procéder pour les feuilles en appliquant le même processus (couche brunâtre: terre de sienne+bleu de cobalt, puis couche de vert foncé: bleu phtalo+jaune de cadmium) que lors de la première vidéo. Revenir à la réalisation de la grande feuille de la première vidéo en accentuant par endroits l'intensité du premier vert, par un mélange de bleu outremer et de jaune de cadmium clair.Corriger l'erreur faite sur le premier pétale en diluant les couleurs ou en utilisant du rouge de quinacridone plus intense, pourredonner volume et contraste aux limbes.Faire de même pour les autres pétales. Enlever par endroits l'excès de peinture avec un pinceau humide.Les feuilles sont soit rehaussées avec du jaune de cadmium, du mélange bleu outremer+jaune de cadmium ou soit par ajout de gouttelettes d'eau sur le vert existant pour faire apparaître le contraste et les nervures du feuillage.
Cette vidéo est la première partie d'une série de trois vidéos intitulées "Comment peindre l'hibiscus rouge à l'aquarelle ?."
L'arbuste peut atteindre cinq mètres de haut et autant de large.
Les feuilles sont alternes, simples, ovales ou lancéolées, à bord denté ou ondulé.
Les fleurs, généralement à symétrie centrale, sont isolées ou groupées en inflorescences.
Le calice a cinq sépales libres ; la corolle cinq pétales libres ou légèrement soudés à la base.
Les cinq étamines sont soudées entre elles, formant un long tube. Le pistil possède assez souvent cinq ovaires et un long style passant à l'intérieur du tube des étamines. Le stigmate ne s'ouvre que lorsque les étamines sont flétries, permettant une fécondation croisée.
Les instructions, les conseils et les informations sont faciles à suivre, et très détaillées. Chaque partie de cette série de peintures dure environ trente minutes. La partie 1 présente les premières étapes du développement de la peinture. On trouve parmi les sujets abordés, les techniques utilisées pour appliquer des lavis de couleur, le mélange des couleurs, des techniques de masquage et la préparation du papier.
Pour bien réussir l'entame de la peinture, il faut s'imprégner du sujet et des couleurs à utiliser:Alizarine crimson.Quinacridone magenta.Jaune de cadmium clair.Bleu de cobalt.Bleu outremer.Bleu phtalo.Vert. et de la terre de sienne brûlée ou non.Les parties sombres du coeur de la fleur seront rouge foncé et violet. Les étamines d'un jaune clair et lumineux ( prévoir l'utilisation du "drawing gum" qui est un liquide blanc déposé avec un pinceau, trempé dans de l'eau savonneuse, sur les grains d'étamines que l'on ne veut pas voir recouverts par le lavis rouge du pétale voisin. Cette pellicule de gomme élastique qui durcit rapidement s'enlève facilement avec le doigt, il restera les étamines blanches que l'on peindra par la suite, contrairement à ce qui est fait sur cette vidéo). Commencer par peindre les pétales qui se font face. Ne pas peindre 2 pétales situés côte à côte, car pour que le bord du pétale soit net et sans bavures pendant l'exécution de la couleur, il faut que le support soit sec, sinon le rouge se diffuserait par capillarité vers le pétale voisin. Le premier pétale de la vidéo est peint pour la partie claire avec le rouge alizarine crimson, la partie sombre avec un mélange de bleu et de quinacridone magenta ( leur transparence permet de varier la teinte plus sombre, selon la densité et l'épaisseur de l'application ). Procéder par la méthode humide sur humide pour lui donner du volume . Selon la logique à respecter, on peint le pétale opposé en mouillant, à l'eau, préalablement le support (méthode humide sur humide, la couleur alizarine crimson très diluée se répand sur la zone humide par diffusion ), pour foncer le pétale qui est proche du centre de la fleur, on force sur le rouge alizarine crimson, puis quinacridone magenta pour la partie la plus extrême. Avec l'humidité, les teintes de rouge se fondent entre elles de façon aléatoire, en inclinant le support de papier. Le feuillage sombre est préparé avec une sous-couche de brun-rougeâtre (terre de sienne brûlée et alizarine crimson) sur un support humidifié au pinceau, sur laquelle on passera un vert; la couleur déposée sera absorbée avec un pinceau pour donner en séchant du volume à la feuille. Avec le pinceau éventail, on revient sur le pétale déjà peint et l'on projette des gouttelettes d'eau pour permettre la formation de tâches plus claires.La plus grande feuille humidifiée est peinte avec le mélange qui a servi à la réalisation de la sous-couche rougeâtre de la première feuille. Le vert dilué sera déposé par dessus et par dilution créera les zones éclairées et sombres, en inclinant le support. Le jaune de cadmium clair viendra compléter et se fondre au vert, par endroits, pour rendre le feuillage encore plus lumineux.Le pistil et le long style sont peints avec un rouge alizarine très dilué. On peut peindre les étamines et le style et ensuite passer le drawing gum pour les protéger et n'enlever la gomme que lorsque le pétale qu'ils recouvrent sera peint au lavis.
Comment utiliser le Gesso? ( vidéo ci-jointe). Cette sous-couche universelle, qui ne sert pas seulement à préparer vos supports, vous permettra de réaliser vos premières couches d'ébauche ou des peintures acryliques avec quelques nuances.
Tout d'abord le support sur lequel sera déposé la feuille de dessin doit être légèrement incliné, pour permettre à l'eau de s'écouler vers le bas. L'on comprend très bien le cheminement de la méthode qui consiste à humidifier le support de papier à l'eau claire et de déposer ensuite les touches d'aquarelle pour permetre aux tonalités de fusionner. Il est indispensable au préalable de se préparer mentalement au résultat de la combinaison des teintes choisies, l'on sait très bien, par exemple, qu'un bleu et un jaune déposés à proximité l'un de l'autre, par cette méthode " humide sur humide " donnera forcément un vert, dès que les couleurs entreront en contact par osmose.La taille des pinceaux diminuera au fur et à mesure que l'on se rapprochera du premier plan et que l'on peaufinera les détails.