La nature morte offre la possibilité d’organiser une composition, telle que la ressent le peintre, tout en respectant certains critères. Les articles ci-dessous, sur la « nature morte » , donnent la marche à suivre pour garder un équilibre dans la construction.

La nature morte, par laurentsaintgermain

La nature morte offre la possibilité d’organiser une composition, telle que la ressent le peintre, tout en respectant certains critères. Les articles ci-dessous, sur la « nature morte » , donnent la marche à suivre pour garder un équilibre dans la construction.

La nature morte, par laurentsaintgermain

Essai d’une fleur d’eau peinte à la gouache

Le processus est le même que pour la peinture acrylique. A la gouache, la première couche, laisse apparaitre les traits du pinceau, surtout si les mélanges de couleur ne comportent pas de blanc. Appliquer une seconde couche après  séchage sur les mélanges transparents. Commencer par le feuillage, puis reprendre les pétales, le temps que les verts sèchent.

Commencer par le centre de la fleur, au niveau du pistil et des étamines,  en posant une couche de jaune et de blanc à la base. le volume est créé en ajoutant du jaune de cadmium moyen vers l'extrémité.

Commencer à peindre les bases des pétales avec un mélange de rose tyrien et de rouge vermillon, auquel on ajoutera  du blanc pour rendre les extrémités plus claires. Pour les pétales placées autour du cœur, on foncera la couleur avec du violet.

Les pétales qui reçoivent plus de lumière sont peints avec du rose tyrien + du rouge et du blanc pour les parties foncées,  en laissant le blanc non peint pour le reste, afin de créer le maximum de contraste pour suggérer la forte lumière.

Les grosses feuilles épaisses qui entourent la fleur sont peintes à partir de plusieurs verts à forte concentration de bleu de céruléum pour un vert plutôt émeraude et teintés de d'ocre jaune et de jaune de cadmium moyen pour obtenir un vert olive.

Pour les ombres préférer le gris de payne avec un peu de violet pour réchauffer la couleur. éviter les aplats trop foncés, voire noir pour les ombres. Varier les tonalités des verts  pour éviter la monotonie.

Pour laisser un coté brut à la peinture, travailler par petites touches.

Peindre les nénuphars, nymphéas ou peonies en vidéo, par laurentsaintgermain

Cette peinture est une combinaison de gouache blanche pour les nuages et de couleurs ààA l ’aquarelle pour donner du dynamisme et du peps avec des teintes plus flashy, comme du bleu phtalo ou du rose à (A base de rouge cramoisi).

La gouache blanche est semblable àA l'aquarelle, sauf qu'au lieu d'ê Eêtre transparente, elle est opaque.

La méEthode  dite classique consiste àA fortement humidifier le support papier pour permettre àau bleu phtalo et au rose de  fusionner et de former des masses de couleurs  alEatoires. Le pinceau plat est biseautéE.

Le ciel  qui se reflEte dans  l'eau  est séEparE par une ligne d'horizon imaginaire. Pour donner du volume et de la profondeur de champ aux nuages,   oter de la couleur rose en l absorbant   avec un papier .

  Pour bien marquer la ligne d'horizon, procEder de la mEème façCon avec un pinceau sec. La gouache intervient dans les nuages pour donner plus de consistance et de volume.

Passer dans eiel, une seconde couche de bleu phtalo et de la gouache blanche pour contraster  les teintes.

  Les branches  foncEes  et le feuillage vont venir complEéter le dessin en  lui donnant un premier  plan.

Entre chaque opEration, laisser sEcher la peinture.