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Le blog de lapalettedecouleurs.over-blog.com

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Des milliers de vidéos pour vous aider à comprendre le dessin et la peinture (aquarelle, huile, acrylique), mais aussi l'écologie des cours d'eau, la lecture en écoutant de la musique relaxante

livres

Publié le par laurent
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Un extrait du roman de marcel Pagnol "Marius": La partie de cartes.
 
 

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Publié le par laurent
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    Suite à un pari osé et pris hâtivement autour d’une partie de cartes, le gentleman téméraire Philéas Fogg se voit contraint d’accomplir une traversée de la planète d’est en ouest, et le tout en moins de 80 jours ! Un périple évidemment délicat et semé d’embûches, qui le conduira successivement en Egypte, en Inde, sur les mers de Chine, au Japon, aux Etats-Unis, etc.… Mais notre aristocrate anglais ne fera pas le voyage seul, car il sera accompagné par le courageux et dévoué valet français Jean Passepartout, par quelques compagnons d’infortune également, mais aussi plus mesquinement par le policier Fix qui comme son nom l’indique n’a qu’une idée en tête, écrouer Philéas Fogg qu’il soupçonne à tort d’avoir dévalisé une banque. Voilà donc brièvement résumée l’intrigue de base d’un roman qui aura si souvent fait rêver petits et grands depuis sa toute première publication à la fin du 19ème siècle. Comme à son habitude, Verne fait preuve d’une inventivité sans limite, et il n’oublie surtout pas de fournir une documentation géographique et sociale véritablement impressionnante, qui apporte cette touche de réalisme qui aura permis à tant de lecteurs de s’immiscer pleinement dans des aventures pourtant rocambolesques. On regrettera malgré tout des portraits et des relations entre les protagonistes parfois trop proches des clichés et des conventions établies, ou encore l’improbabilité de nombreuses situations dans lesquelles tout se résout grâce à la soif de l’argent. Malgré tout, le concept aussi original que haletant ainsi qu’un dénouement final désormais connu de tous font de ce livre un des monuments de la littérature d’aventure pour petits et grands. Une référence du genre, sans aucun doute.

 

  Pour la version audio:.   

  http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/jules-verne-le-tour-du-monde-en-80-jours.html

 

   Pour la version lecture:  

  http://beq.ebooksgratuits.com/vents-xpdf/Verne-tour-monde.pdf

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Publié le par laurent
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Pierre Aronnax, biologiste marin, son assistant Conseil et un harponneur du nom de Ned Land rejoignent l'équipage de l'Abraham Lincoln, navire chargé par le gouvernement américain de débusquer le cétacé géant responsable de la destruction d'un paquebot. Après des recherches infructueuses, ils finissent par débusquer le monstre qui, au terme d'un violent combat, endommage lourdement l'Abraham Lincoln, précipitant les trois personnages principaux par dessus bord. Ils se retrouvent sur le monstre, qui à leur grande surprise, s'avère être fait de métal. Il s'agit en réalité d'un sous-marin géant, le Nautilus, conçu et commandé par le capitaine Nemo, prince indien dépossédé par les colons anglais, remarquable scientifique et misanthrope patenté. Le capitaine refuse de libérer ses prisonniers, par peur qu'ils révèlent son existence. Alors que cette captivité ravit le biologiste Aronnax, Ned Land tentera plusieurs fois d'envisager son évasion. Au cours de huit mois, ils contempleront quelques-unes des merveilles du fond des océans : les coraux de la Mer Rouge, les vestiges de la bataille navale de Vigo, la cité d'Atlantis, entre autres. La destruction d'un na vire anglais et la mort d'un membre de l'équipage à la suite d'une attaque de poulpes géants, Aronnax, Conseil et Ned Land décident de fuir leur captivité, et finissent par regagner la terre à bord d'une chaloupe.
   
Film d'animation librement inspiré du fantastique et de l'imaginaire de l'oeuvre de Jules Verne, réalisé en 2005 par Lionel Metz (vidéo-plasticien).
En 2010 est crée une musique originale par Gabriel Louche (créateur sonore)     
    

Pour la version audio:.  

 
 Pour la version lecture:

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Publié le par laurent
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  Les Contes de  Charles PERRAULT 
 
 
 
  La Belle au bois dormant (1/2) - Disney - résumé
 La Belle au bois dormant
  C'est une fois de plus Charles Perrault en 1697 (inspiré de Le Soleil, la Lune et Thalie de Giambattista Basile publié en 1634) et les frères Grimm en 1812 qui racontèrent les premiers la destinée de cette princesse dans des contes qui montrent autant de similitudes que de différences avec la version réalisée par Walt Disney en 1959. Il s'agit du 20ème film d'animation des studios (le premier à être tourné en Super Technirama 70) qui voit la princesse Aurore subir les affres d'une malédiction qui la plonge dans le sommeil pendant 100 ans. Taciturne, la belle est très passive mais reste pourtant l'une des princesses préférées des fillettes qui attendent le Prince charmant.
   (extrait de TF1news)  
      
La Belle au bois dormant (2/2) - Disney - résumé
   
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  Le Petit Chaperon Rouge dessin animé en francais
le petit chaperon rouge
 
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Cendrillon est un personnage créé par Charles Perrault et repris plus tard par les Frères Grimm. C'est en 1950 que Walt Disney adapte l'histoire de ce conte fabuleux. Celle-ci raconte la vie d'une jeune fille, qui se retrouve aux services de son odieuse marâtre, femme qui avait épousé son regretté père en secondes noces. La belle-mère lui confie les plus horribles tâches à faire, sans lui laisser de répis. Anastasie et Javote, ses deux filles, ne sont guère plus aimables et profitent de passer leur colère sur Cendrillon, car elles avaient depuis longtemps remarqué qu'elles ne pourraient jamais s'offrir les qualités de la demoiselle. Pourtant, Cendrillon vit sa vie courageusement en effectuant ses devoirs dans la bonne humeur. En effet, elle a un secret : chaque matin en se réveillant, elle espère toujours que ses rêves se réaliseront. Avec l'aide de Jacques, Gustave, Pato et tous leurs amis souris et oiseaux, elle affronte son horrible destin.
 Toutefois, un obstacle se met toujours au travers du chemin de nos amis : le chat Lucifer ! Son coeur et sa tête sont remplis de mauvais côtés. Puis, notre héroïne rencontrera par un jour de grande tristesse sa marraine, la bonne fée.
 Dès lors, un magnifique voyage sera entamé. Cendrillon réalisera enfin qu'elle avait raison de croire en ce qu'elle se disait chaque matin : les rêves reflètent les souhaits. Elle rencontrera enfin son prince charmant ! Cependant, le chemin vers le bonheur est toujours semé d'embûches, surtout si l'on a une marâtre abominable dans nos pattes.




Walt Disney nous offre là l'une des plus célèbres histoires du monde. Pourtant, adapter un tel conte en dessin animé n'a pas du être une tâche facile. Ce que j'admire particulièrement chez cet homme, aujourd'hui regretté depuis des années, c'est qu'il nous fait vivre intensément la magie des belles légendes d'antant. De plus, une qualité remarquable que j'attribue à ce film, c'est que l'on ne réfléchit même plus à son histoire de base. En effet, nous savons tous que Cendrillon se marie avec le prince à la fin et malgré cela, jusqu'à la dernière minute on garde tous nos espoirs sur ce personnage plus envoûtant que jamais.

Il est clair que chaque médaille a son revers. Mais, du point de vue de mon propre caractère, j'ai toujours du mal à attribuer des défauts à des "choses" qui m'ont captivé. Pourtant, si je dois être objectif, je dirais que c'est fortement dommage de n'avoir pas assez mis en valeur le personnage du prince. Dans la version des Frères Grimm, c'est lui-même qui vient faire essayer les chaussures aux demoiselles du bal, car il a une intense envie de retrouver cette jeune fille qu'il a aimé au premier regard. J'aurais trouvé plus original de le faire venir lui, qu'un simple personnage banal, qui apporte toutefois une touche d'humour. Néanmoins, je ne suis pas apte à juger des choix de l'auteur de ce Grand Classique Disney, car je prends bien évidemment en compte le fait qu'il se soit certainement plus appuyé sur la version de Perrault (que je n'ai pas lue, malheureusement).

Les personnages de ce dessin animé sont très attachants, comme dans beaucoup de Disney me direz-vous. Toutefois, j'attribue une palme d'or spéciale à Jacques et Gustave, car ils entraînent énormément l'histoire. Ils apportent la touche d'humour essentielle, que l'oeuvre devait avoir pour ne pas sombrer dans le style trop dramatique, mais aussi la petite touche très touchante, qui fait que se sont deux amis fidèles et au grand coeur. Est-ce que ce n'est pas beau de voir de si petits êtres ressentir autant d'affection pour une fille qu'on caractérise de "souillon" ? J'avoue également que les souris Disney me touchent particulèrement.

Pour revenir aux versions originales de cette histoire, je dois dire que la version de Walt Disney est très différente de celle des Frères Grimm. Le père est nettement plus cruel. Seule la mère de Cendrillon, qui décède au début de l'histoire, est incroyablement douce et tendre. Elle lui dit de rester bonne et pieuse, sentiments que l'on retrouve néanmoins dans notre dessin animé. La bonne fée n'existe pas chez Grimm, mais elle est remplacée par un noisetier magique, qui est né d'une petite branche que Cendrillon avait demandé à son père. Malgré tout, je ne repproche pas cela au grand classique de Disney, car quand je lis la version des Frères Grimm, je découvre l'histoire d'une autre façon. Il n'y a rien à repprocher à l'oeuvre de Disney, car une belle histoire peut se raconter de plusieurs façons différentes, tant qu'on comprend ce qu'elle veut nous apporter !

Salagadou, la menchikabou, la Bibidi Bobidi Bou ! Quel univers musical ! Cela ne m'étonne guère que cette chanson ait été nominée aux oscars. En effet, le film en lui-même est doté de chansons superbes. Cependant, il s'avère vrai que la seule qui survive aujourd'hui au film, dans chaque mémoire, c'est bel et bien Bibidi Bobidi Bou. J'applaudis, malgré cela, le remarquable travail des compositeurs Mack David, Al Hoffman, Jerry Livingston et Paul J. Smith.

Que peut-on dire pour conclure ? Et bien, disons tout simplement que ce 12ème Grand Classique Disney est tout simplement fastidieux, bien qu'on puisse lui attribuer quelques minimes défauts. Puis, l'univers enchanté qu'est celui de Blanche Neige, par exemple, nous le retrouvons dans ce long-métrage d'animation. C'est bel et bien un monde de pur et belle magie, que Disney nous a offert. Dans 100 ans encore, on se souviendra de l'histoire de Cendrillon de Walt Disney, tout comme on se souvient aujourd'hui de celles de Perrault et de Grimm. Le monde féérique ne mourra pas, croyez-moi ! Smile


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                          Portrait de Vincent van Gogh par Paul Gauguin 

 

 

  Paul Gauguin (Man in a Red Beret)       Portrait de Gauguin par Van Gogh.

        ( l'homme au béret rouge)

 

 1888:Vincent débarque en Arles. Il peint sans relâche, émerveillé par cette intensité lumineuse qui inonde les sujets picturaux. Son projet le plus cher serait de regrouper là des artistes pour constituer " l'Atelier du Midi" . Dans cet espoir il loue, 2, rue Lamartine, une maison appelée" la maison jaune" à cause de son badigeonnage de cette couleur. Il s'installe dans l'enthousiasme. Le premier et le seul colocataire de cet appartement sera Gauguin qui consent à venir partager cet atelier. Vincent en conçoit une immense joie et pendant les premières semaines, ils peignent les mêmes sujets ( Alyscamps, Arlésienne), Mais les deux artistes sont peu faits pour s'entendre tant sur le plan humain que sur le plan artistique. Gauguin manifeste de plus en plus son intention de quitter Arles et de poursuivre son voyage initiatique pictural vers les îles du pacifique. Après l'épisode de l'oreile coupée, Gauguin retourne à Paris, pendant que Van Gogh commence une longue série d'hospitalisations et de séjours en asile psychiatrique. Durant les quinze mois passés en Arles, Vincent a brossé près de deux cents tableaux.        

 

 

     Cliquer sur ce lien:

pour la version audio. C'est agréable de pouvoir lire, avec un lecteur audio.

   http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/van-gogh-vincent-gauguin-paul-correspondance-3-lettres.html

 

  Pour les personnes intéressées par la version classique, ci-joint le format pdf 

 

http://www.fondationlaposte.org/article.php3?id_article=1076

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Ce récit, magnifiquement conté par Philippe Noiret dans un écrin de dessins animés, nous replonge dans le chef d'oeuvre littéraire de Jean Giono. Il s'est inspiré de sa haute provence, près de Manosque, des personnages rudes du contadour, qu'il a dépeint dans la majorité de ses romans et notamment dans la trilogie de pan ( Colline, Un de Baumugnes, Regain ).
"Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable. "
Giono nous conte ici l’histoire d’un « caractère inoubliable » : il s’appelait Elzéard Bouffier.
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Deux versions du roman de Balzac ont été portées à l'écran.
 Le film, le plus ancien est l'oeuvre de René Le Henoff avec pour scénariste Pierre Benoit et pour acteur principal: Raimu.
La seconde adaptation est une réussite, Fanny Ardant et Gérard Depardieu sont exceptionnels dans ce film tourné en 1992-93. Fabrice Lucchini, dans le rôle du notaire est étonnant de sobriété.
Le roman est une oeuvre très courte, qui s'apparente plus, par son format, à une nouvelle qu'à un roman. Mais quelle intensité ! Quel savoir-faire dans la description de la tension des rapports humains !
     La "mort civile" du personnage principal, héros de guerres napoléoniennes, crée l'énigme au sein de ce mélodrame et l'histoire s'apparente à celle du Comte de Monte-Cristo où la réapparition d'un homme qu'on croyait à jamais disparu va porter le poids du dénouement mélancolique et de l' échec de la reconquête de son passé.
   
          
 
 
     Cliquer sur ces liens:

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      Pour les personnes intéressées par la version classique, ci-joint le format pdf  

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                                      Paris d'hier et d'aujourd'hui: la rue au Maire.

rue-au-Maire.jpg

    " La Cousine Bette"  est avant tout un roman de personnages merveilleusement dépeints dans les moindres détails: Balzac parvient, une fois encore, à croquer d'irrésistibles caractères, que ce soit avec le jeune sculpteur ingénu, la femme éplorée et soumise, le mari luxueux et débonnaire, l'arriviste aux dents de scie, et surtout - dans un des plus vertigineux portraits de notre littérature - la grande Bourgeoise au sourire sanglant qui dévore petit à petit tout ce monde. Et derrière tout cela, se dissimulant sous un masque hypocrite qui ne s'effritera jamais, se tient la plus bouleversante des anti-héroïnes de la Comédie Humaine.
Jugez si avec de tels ingrédients on ne peut pas réaliser une oeuvre !
La pluralité des thèmes de la critique est intéressante; on retrouve avec plaisir le critique d'art du Chef-d'oeuvre inconnu, qui cette fois-ci explore le monde très peu étudié de la sculpture, tandis que le terrible usurier de La Maison Nucingen dissèque une nouvelle fois les rouages de la finance française au XIXème siècle. La Beauté, au centre de ce Paris très bipolaire, oscillant entre les bas-quartiers où réside Marneffe et l'apanage de luxe dans lequel se roule allègrement Hulot, et, en contre-pied, la vieillesse et l'impuissance de ses personnages qui peinent à se faire vraiment aimer. Il y a du bon dans ces victimes qui triomphent sans même le savoir sur leurs ennemis, mais ils sont encore plus méprisables, et je regrette presque la déconfiture finale - le mécanisme impitoyable de la Cousine Bette aurait pu ne pas s'effondrer.
Une autre chose que je m'étonne que l'on ait pas soulignée, c'est la lenteur avec laquelle le ménage Hulot s'effondre, je veux dire par là, la lenteur avec laquelle Bette parvient à satisfaire sa vengeance. C'est là que le roman est vraiment jubilatoire, à mon sens : cette délicatesse et cette douceur dans l'anéantissement ont tout des éloges donjuanesques.

 

     Cliquer sur ce lien:

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 http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/balzac-honore-de-la-cousine-bette.html

 

    Pour les personnes intéressées par la version classique, ci-joint le format pdf

 

http://www.ebooksgratuits.com/ebooksfrance/balzac_la_cousine_bette.pdf 

 

 

 

 

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    Après avoir accumulé une jolie fortune, dans la petite ville de saumur, félix Grandet, riche et avare commerçant de province, décide de marier sa fille. Pour l'anniversaire des 23 ans d'Eugénie, le père Grandet organise une grande fête à laquelle est conviée, deux familles rivales, les Cruchot et les Grassin, qui entrevoient un mariage prometteur pour leurs fils respectifs.

L'arrivée du cousin de Paris, Charles, fils d'un négociant en faillite, va chambouler tous les projets. Eugénie est amoureuse de son cousin et veut lui venir en aide, mais félix Grandet refuse à Eugénie cet homme qui risque de le pousser à la ruine. L'épilogue du roman expose parfaitement  le poids réel qu'a eu Félix Grandet sur le destin d'Eugénie. Ce récit sur l'avarice et la naîveté est un véritable documentaire sur une époque où spéculateurs et négociateurs ont la part belle. " Tiens!  rien n'a changé ce matin, je n'y comprends rien, c'est la fête ... pour eux. ".
Les nouveaux riches aspirent à devenir noble et les nobles convoitent l'argent des fortunés, telle est la nouvelle bourgeoisie provinciale. Cette donne économique est bien décrite et l'argent omniprésent  vient souiller les personnages à l'exception d'eugénie.

 

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 http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/balzac-honore-de-eugenie-grandet.html

 

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 http://beq.ebooksgratuits.com/Balzac-xpdf/Balzac-26.pdf

 

Un extrait vidéo:

http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CPC94001482/eugenie-grandet.fr.html

 

 

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